Non classé – Les chroniques de Brigitte https://aaper.ch/chroniques Information, détail, explication, conseil Tue, 28 Nov 2023 19:24:14 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=4.6.16 Le kintsugi – la réparation en or ! https://aaper.ch/chroniques/2023/04/17/le-kintzugi-la-reparation-en-or/ Mon, 17 Apr 2023 18:55:49 +0000 http://aaper.ch/chroniques/?p=4302 Un reportage m’a inspiré !

On y voyait des artisans japonais recoller avec précaution et minutie une tasse cassée, en remettant chaque pièce à sa place puis, au lieu de cacher la félure, peindre cette trace soigneusement avec de la poudre d’or.

Selon Wikipédia, le kintsugi est une méthode japonaise de réparation des porcelaines ou céramiques brisées au moyen de laque saupoudrée de poudre d’or. 

Cela relève d’une philosophie qui prend en compte le passé de l’objet, son histoire et donc les accidents éventuels qu’il a pu connaître. La casse d’une céramique ne signifie plus sa fin ou sa mise au rebut, mais un renouveau, le début d’un autre cycle et une continuité dans son utilisation. Il ne s’agit donc pas de cacher les réparations, mais de mettre celles-ci en avant.

Et bien, quelle philosophie !

Prendre en compte le passé et le réparer !

Prendre en compte une histoire et ses accidents et la réparer en recollant chaque morceau !

Mettre en avant les réparations en les sublimant avec une poudre précieuse !

Donner un nouveau départ !

Une renaissance avec une continuité !

Voilà de quoi en prendre de la graine pour nous… non ?

Imaginez que nous arrivions à réparer nos blessures, nos erreurs de parcours et ainsi pacifier nos « fausses notes » et les couvrir d’une poudre de … selon votre imagination !

Moi cela m’a tenté et j’ai suivi une formation donc j’ai appris à faire cela… et oui ! … mais pas pour les tasses 😉

Si cela vous tente, prenez contact et je vous en parlerai très volontiers !

Dans Wikipédia, ils disent également que l’art du kintsugi est souvent utilisé comme symbole et métaphore de la résilience en psychologie… et oui ils y ont pensé avant moi 😉

… et aussi une invitation à reconnaître la beauté qui réside dans les choses simples, imparfaites et atypiques !

Voir le beau !

Un réflexe, une intention, un programme dont vous avez besoin et/ou envie ?

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Et si on en parlait ? L’obligation vue sous un autre angle ! https://aaper.ch/chroniques/2022/02/16/et-si-on-en-parlait-lobligation-vue-sous-un-autre-angle/ Wed, 16 Feb 2022 15:33:48 +0000 http://aaper.ch/chroniques/?p=4157 La définition de l’obligation nous indique plusieurs pistes, selon le dictionnaire Larousse :

  1. – Devoir, contrainte imposés par des règles morales, des lois sociales ; impératif
  2. – Contrainte imposée par les lois, les règlements
  3. – Lien de droit par lequel quelqu’un est tenu de faire ou de ne pas faire quelque chose.
  4. – Nécessité imposée par une situation contraignante quelconque
  5. – Sentiment ou devoir de reconnaissance envers quelqu’un.
  6. – Titre de créance négociable, représentant une fraction d’un prêt à intérêt consenti à une société privée ou à une collectivité publique lors de l’émission d’un emprunt

Je vous propose un autre angle, un autre point de vue, une caméra qui filme avec d’autres yeux !

Pensons tout d’abord à l’obligation comme une contrainte à subir, soit à :

une obligation physique et ressentie dans le physique

une obligation mentale et ressentie dans le physique

une obligation émotionnelle et ressentie dans le physique

donc un cumul de sensations physiques, de tensions additionnées, qui font que je ne me sens pas bien quand je suis obligé-e !

Et maintenant changeons notre point de vue, filmons depuis un autre angle, ouvrons notre espace de penser !

Et si cette obligation était l’occasion rêvée… l’opportunité d’apprendre … d’apprendre à choisir… puis d’apprendre à décider… et surtout une façon d’exercer notre libre-arbitre, cette fameuse liberté qui est souvent prise en otage quand nous nous sentons obligés ???

Passons au concret du quotidien :

Obligation physique ressentie dans le corps physique

Vous montez des escaliers, vous êtes obligé-e de plier votre genou, de lever la jambe, d’appuyer avec l’autre jambe pour garde l’équilibre, de vous tenir éventuellement à la barrière, etc. Si vous les montez en courant, votre respiration va changer, votre coeur va s’accélérer un peu… peut-être 😉 … Bien sûr on peut aussi sauter les marches à pieds joints, monter les marches 4 par 4… Autant de sensations ressenties dans notre corps. Elles peuvent être agréables, désagréables ou normales et nous pouvons y porter plus ou moins d’attention.

Obligation mentale ressentie dans le corps physique

L’ascenseur est en panne et vous êtes obligé-e de passer par les escaliers. Diverses réactions mentales sont possibles : mince, je vais arriver en retard, chic, cela me fera un peu de sport, mince, j’ai mal au dos et mon sac est lourd à porter, chic, je sais qu’il y a une belle vue à la fenêtre du deuxième étage, etc. Autant de réactions qui vont amener des sensations ressenties dans notre corps. Elles peuvent être agréables, désagréables ou normales et nous pouvons y porter plus ou moins d’attention.

Obligation émotionnelle ressentie dans le corps physique

Vous entendez votre enfant qui pleure dans sa chambre. Alors que vous espériez que sa sieste dure 1 h 30, cela fait à peine 20 minutes que vous l’avez couché. Diverses réactions émotionnelles sont possibles : mince, il va être fatigué, chic, nous allons pouvoir partir dehors dès maintenant, mince, je ne vais pas pouvoir me reposer, chic, je vais avoir le temps de lui donner un bain avant de partir, etc. Autant de réactions qui vont amener des sensations ressenties dans notre corps. Elles peuvent être agréables, désagréables ou normales et nous pouvons y porter plus ou moins d’attention.

Et voilà, une addition de sensations que nous pouvons vivre comme des plus ou des moins… selon les tensions ressenties !

Qu’est-ce qui va bloquer et installer des limites et des tensions ?

Nous et nos croyances limitantes !

Qu’est-ce qui va permettre de rester dans la sensation de liberté, de libre-arbitre avec toutes les infinies possibilités ?

Nous et notre décision de vivre cet instant, nous et notre choix de vivre cet instant comme il est, nous et notre liberté de non-jugement, d’absences de catastrophes et d’issue heureuse !

Nous et notre rapide 🙂 capacité à évaluer la situation, à évaluer ce qui peut être changé et ce qui ne peut pas l’être, à choisir le changement possible, à décider de passer à l’action et à vivre cette nouvelle situation… à chaque seconde, minute, heure, jour de notre vie… une éternelle et infinie liberté à vivre à chaque instant !

Une obligation n’est peut-être qu’une situation avec une occasion de choisir !

mon choix

Et vous ? 🙂

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Inspiration du 20 février 2021 : l’art du résumé https://aaper.ch/chroniques/2021/02/21/inspiration-du-20-fevrier-2021-lart-du-resume/ https://aaper.ch/chroniques/2021/02/21/inspiration-du-20-fevrier-2021-lart-du-resume/#respond Sun, 21 Feb 2021 18:35:46 +0000 http://aaper.ch/chroniques/?p=3851 Faire un résumé POUR apprendre la matière du contrôle d’histoire ou de géographie ou de math !

Quelle bonne idée ! C’est une des possibilités !

Encore sera-t-il nécessaire de manier l’art du résumé utile avec soin !

Recopier la matière du cours n’est pas un résumé utile.

Recopier la matière du cours en dessous des objectifs n’est toujours pas un résumé utile.

Recopier ce qui est en gras n’est encore et toujours pas un résumé utile.

Alors c’est quoi un résumé utile POUR apprendre une matière ?

Un résumé utile c’est un « court » écrit qui peut revêtir différentes formes, des mots clés, des phrases, une énumération, des schémas, des flèches, des bulles, de la couleur et/ou des dessins ET dont le contenu est personnalisé par rapport à MES besoins dans cette matière à ce moment-là.

Faire un résumé POUR apprendre quelque chose c’est noter ce dont j’ai besoin, ce que je ne sais pas encore dans cette matière afin que je puisse l’apprendre !

Car bien sûr, après il est nécessaire de l’apprendre et/ou de vérifier qu’on a appris… idéalement, en faisant le résumé d’ailleurs !

Bien sûr un résumé peut aussi être un condensé d’un livre par exemple ou un aide-mémoire, selon les cas.

Après, il y a à trier et à aller à l’essentiel dans un bon résumé : il y a des choses que je ne sais pas et que je n’ai pas besoin d’apprendre et il y a des choses que je ne sais pas et que j’ai besoin d’apprendre.

Comment je sais ce qui est essentiel ?

Dans une matière ?

L’enseignant-e donne en général les objectifs à atteindre.

Dans la vie ?

L’essentiel, il me semble que je le vis à chaque instant et si c’est « compliqué »… 😉 … c’est justement ce que je ne sais pas encore et que je peux noter dans ma liste à apprendre.

En résumé, il y a encore de quoi faire et cela tombe bien car j’aime apprendre et vous ?

résumé einstein

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Chronique 20 : la différence https://aaper.ch/chroniques/2020/02/28/chronique-20-la-difference/ https://aaper.ch/chroniques/2020/02/28/chronique-20-la-difference/#respond Fri, 28 Feb 2020 13:05:47 +0000 http://aaper.ch/chroniques/?p=3123 Une différence cela rime à quoi ?… ok… cela distingue une chose d’une autre, un être d’un autre… donc on sait qui c’est et ce que c’est 😉

Une différence c’est aussi un calcul donc une soustraction entre une quantité totale et une quantité à enlever, c’est comme un reste.

EXEMPLE

J’ai CHF 100.- et je dépense CHF 80.-. Il me reste CHF 20.- comme résultat.

Si j’additionne plein de différences, le résultat c’est quoi ? Pour finir… c’est un plus ou un moins ? … une nuance ou un abîme ?

Seule petite fille rouquine de la famille, du quartier voire du village, il est vraisemblable que les adultes de l’époque me regardaient et voyaient ma différence… de couleur de cheveux 🙂 Ai-je ainsi appris à me sentir différente ? Cette différence a-t-elle participé à qui je suis aujourd’hui ?

Ces derniers jours, la différence a rempli mon quotidien sous plusieurs formes et m’a inspiré cette chronique.


tulipe

Il y a les différences physiques qui riment avec tolérance.

EXEMPLE

Les personnes différentes par leur taille, leur poids, leur couleur de peau, leur morphologie, leur façon de s’habiller ou de se coiffer, etc.

Il y a les différences mentales qui riment avec connaissances et/ou indulgence.

EXEMPLE

Les personnes différentes par leur opinion politique, culturelle, religieuse, écologique, etc.

Il y a les différences émotionnelles qui riment avec bienveillance.

EXEMPLE

Les personnes différentes par leur sensibilité et leur réceptivité.

Et il y aussi les différences qui riment avec violence et maltraitance.

EXEMPLE

Les moqueries et/ou attaques à propos de la taille, de la couleur de la peau, des opinions, de la sensibilité, etc.

Il y a les différences qui riment avec impuissance.

EXEMPLE

Une personne qui agit dans un endroit en ne respectant ni les personnes, ni les règles, ni le matériel.

Il y a les différences qui riment avec excellence, endurance et persévérance.

EXEMPLE

Les quelques centièmes qui permettent de gagner une descente à ski.

La différence côtoie parfois la patience et/ou l’indifférence, cela dépend de l’écart… puis elle rime avec divergence.

EXEMPLE

Un adulte qui supporte le comportement inadéquat d’un enfant un moment… puis l’écart devient trop grand… et l’élastique pète à force de tirer dessus… et là peut-être que la différence c’était en plus un moyen d’attirer l’attention !

note contentenote contente
Et puis la quantité qui, ajoutée à une quantité, donne une somme égale à une autre est aussi une différence.
EXEMPLE
La différence entre 100 et 25 est 75.
Donc il est possible de penser différemment, faire différemment, et/ou de vouloir faire la différence en ajoutant quelque chose, un complément, pour arriver à l’égalité, et/ou à la moyenne et/ou à la norme sans s’éloigner et mettre trop de distance et risquer l’incohérence !
C’est peut-être cela se sentir à la hauteur…  ajouter qui on est, même si on se sent différent-e, POUR faire la différence, en prenant en compte les faits, nos besoins, nos désirs et la réalité !
note contentenote contente

Nous ajout’rons c’qui manque, les dés ne sont pas jetés !
La vie que voilà, ira le partager !

Entrez dans la différence ! Voyez comme on danse !

Chantez, dansez, embrassez qui vous voulez !

coeur en musique

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Chronique 19 : concret et/ou abstrait https://aaper.ch/chroniques/2020/02/18/chronique-19-concret-etou-abstrait/ Tue, 18 Feb 2020 17:25:24 +0000 http://aaper.ch/chroniques/?p=2974 Un arbre est visible concrètement. Quand on parle d’un arbre à quelqu’un, cette personne a eu, a ou aura l’occasion de voir concrètement un arbre pour s’en faire une représentation mentale… SA référence mentale de l’arbre, SA connaissance de l’arbre, selon son âge, son métier, son pays et les circonstances de la vie ! … avec des possibles mises à jour régulières 😉

EXEMPLE de référence mentale d’un arbre – un élément concret

Alors qu’on est assis-e au salon, cela peut être, dans notre tête : le souvenir d’une photo, d’un film ou comme si on y était maintenant vers un arbre, un schéma mental ou un film inventé de la croissance accélérée d’un arbre depuis sa graine jusqu’à sa taille d’une dizaine de mètres, le mot arbre écrit en couleur sur un écran mental, les lettres du mot arbre que l’on entend dire, la sensation du toucher de l’écorce ou du mouvement des branches, le bruit du vent dans les feuilles, etc.

En tous les cas, c’est notre façon de penser à un arbre… notre liberté d’y penser !

Et pour tout ce qui n’est pas visible concrètement, on fait comment puisqu’on ne peut rien voir « à d’vrai » ?

EXEMPLE de référence mentale d’un concept abstrait : la politesse

Heu…

On ne s’en fait pas de représentation mentale… hum…

On n’y pense pas… hum hum…

Et si on « chroniquait » ?


obtenir réussite

Si nous voyons concrètement notre monde quotidien, famille, collègues, animaux, maison, meubles, nourriture, outils, etc., nous sommes entourés de concepts abstraits invisibles, tout au long de notre vie :  les devoirs, la réussite, la motivation, l’ordre, la concentration, le courage, la politesse, la bêtise,  la tolérance,  l’autonomie, la confiance, l’originalité, la compassion, le temps, la loi, les valeurs, la méchanceté, la douceur, la joie et bien d’autres !

Nous ne les voyons pas et nous y faisons continuellement référence… en prononçant des mots qui peuvent atterrir dans des oreilles non informées … une vraie mine de confusion potentielle !

Chacun-e d’entre nous a vraisemblablement SA représentation mentale de la motivation, de la politesse, de la tolérance, etc. et c’est bien à SA représentation qu’il/elle se réfère quand il/elle en parle… et oui, voilà pourquoi on se prend la tête parfois… notre référence mentale est différente de celle de l’autre… mais on ne la voit pas !

EXEMPLE

Mon enfant a des problèmes de motivation et de concentration… étant souvent la traduction de … il n’a pas envie et ne comprend pas ce qu’il lit… et moi j’ai des problèmes car je ne sais pas comment faire…

Comment ou quoi faire pour acquérir les connaissances abstraites utiles et nécessaires dès le plus jeune âge ?

En donnant des descriptions et/ou en répondant aux questions POUR faciliter la création d’une représentation mentale, une sorte de petite pièce de théâtre mentale qui met en scène des gens, des décors, des paroles, des sensations, des odeurs, des goûts, des couleurs, des textures, etc. et parfois ses propres expériences. Une création mentale sur mesure, unique et personnelle qui mériterait bien un César voire un Oscar 🙂 POUR compléter la liberté de penser avec la responsabilité de penser et ainsi apprendre à penser ! Et tout ceci entrecoupé de petites pauses silencieuses pour que l’enfant ou la personne puisse penser à sa vitesse, créer et fignoler ses scénarios mentaux, tranquillement en sécurité !

EXEMPLES

Quand nous lisons des livres avec des tout petits, nous décrivons les animaux, les objets et toutes sortes d’éléments concrets, maintes et maintes fois en répétant les mêmes mots 🙂 . Et si nous faisions des petites pauses POUR respecter leur rythme et leur permettre de penser ? En plus, nous pouvons ajouter des éléments non visibles car il est toujours possible de compter quelque chose sur les images, de faire semblant d’ouvrir un cadeau, de goûter un gâteau, de sentir une fleur, etc. Idéalement se taire à nouveau quelques instants pour leur offrir un moment « d’activité psychique », pour les emmener dans leur imagination voire dans l’abstraction en tous les cas dans leurs pensées… un début de pièce de théâtre mentale… sera un début d’entraînement cérébral  et un pas vers l’abstrait !

Quand nous prenons du temps pour expliquer, montrer, dessiner, visiter, cuisiner, réparer, etc. et ainsi apprendre de nouveaux mots à quelqu’un POUR passer d’un objet à des schémas puis à des symboles, nous pouvons toujours nous taire quelques instants POUR favoriser ce temps d’évocation mentale puis nous intéresser à la représentation mentale de la personne et lui demandant de nous la communiquer !

Quand nous prenons du temps pour apprendre de nouveaux mots à quelqu’un en étant soi-même un exemple et un témoignage de motivation, de tolérance, de confiance, etc. dans le quotidien 😉 , nous pouvons ensemble évoquer POUR favoriser et s’intéresser à la représentation mentale de la personne à propos de ces concepts invisibles et abstraits mais bien présents… et bien sûr communiquer la nôtre !

note contente note contente

Quand un concept abstrait apparaît, c’est un vrai investissement que de prendre soin de lui donner sa représentation mentale « sa pièce de théâtre mentale » 🙂 Faisons des pauses évocatives !

EXEMPLE

Et si on disait que la grammaire c’est le mode d’emploi pour la construction des phrases ?… comme pour un lego où on a besoin des explications à suivre pour chaque partie et une description des pièces avec un schéma pour savoir comment elles vont s’emboîter les unes aux autres ?

La capacité d’abstraction cela s’apprend comme tout !

Pour comprendre et réfléchir, nous avons besoin d’évoquer mais aussi de manipuler dans notre pensée les concepts dans des raisonnements, de faire des liens entre des informations pour arriver à des déductions voire à des décisions qui pourront être exprimées et mises en oeuvre.

D’abord je pense et après je fais, d’abord je mets en scène dans ma tête et après je…

Encore un moyen de rester dans le moment présent et même d’éviter la tendance à l’impulsivité non bénéfique !

Bonne représentation 🙂

note contentenote contente

Il était un nouveau concept

Il était un nouveau concept

Qui n’avait ja-ja-jamais existé

Qui n’avait ja-ja-jamais été pensé

Ohé! Ohé! Matelot,
Matelot navigue sur les mots
Ohé! Ohé! Matelot,
Matelot navigue avec les mots

coeur en musique

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Chronique 18 : l’exemple https://aaper.ch/chroniques/2020/02/08/chronique-18-lexemple/ https://aaper.ch/chroniques/2020/02/08/chronique-18-lexemple/#respond Sat, 08 Feb 2020 09:41:34 +0000 http://aaper.ch/chroniques/?p=3031 Quand on est grand-e, on doit montrer l’exemple.

Suis son exemple !

Quel exemple donnes-tu en faisant cela ?

Voici un exemple d’utilisation de la règle du participe passé avec avoir. 😉

Donnez-moi un exemple de verbe du 2e groupe ?

Par exemple, tu pourrais mettre la table pour me rendre service…

Je vous montre l’exemple et vous m’imitez ?

Inspirée par la « petite action exemplaire » de mise à disposition d’outils, à Vallorbe, diffusée dans l’émission Mise au point dimanche soir, je vous propose de « chroniquer » à propos de l’exemple. L’intention de cette personne est de rendre visible, modestement, avec ses moyens,  une alternative POUR faire comprendre, toucher ou rendre possible de grandes actions.

Un petit exemple pour l’homme ! Un grand pas pour l’humanité ? 🙂


donner

Aînée de la famille, on m’a dit de montrer l’exemple à mon frère et à ma soeur et cela m’a bien convenu. En plus, en rentrant de mon premier jour d’école, j’ai annoncé que je voulais… « faire maîtresse d’école » quand je serai grande… donc je montrais l’exemple et je commandais ce petit monde avec aisance… 😉

En grandissant, avec l’adolescence, montrer l’exemple a été une découverte différente. Oser se positionner, faire des choix, réagir, se définir, suivre l’exemple des parents ou être un exemple différent pour les parents ?

Puis, j’ai rencontré des adultes exemplaires qui m’ont clairement fait avancer tellement leur modèle était stimulant. Ils m’ont montré la bonté, la générosité, l’honnêteté, la clarté, la confiance, la joie. J’ai également rencontré des adultes non exemplaires qui m’ont permis d’avancer aussi, tellement leur exemple était décevant et m’obligeait à aller puiser dans mes ressources ! C’était une évidence de choisir de ne pas agir ainsi !

Les exemples étaient alors des moyens de comparer, de jauger, voir de juger … hum hum… et finalement de choisir. Ils m’ont servi de leçon ou d’avertissement.

Dans l’enseignement et l’apprentissage, les règles de grammaire, les théorèmes de math, etc. sont suivis d’exemples pour faciliter la compréhension et la mise en application. Et bien entendu, il y a des bons exemples pour une personne et des autres bons exemples pour une  autre personne …  L’exemple en général parle car il permet de faire un lien avec le vécu ou les connaissances et il devient une référence. Et parfois une explication sans exemple suffit !

Dans mon rôle de maman, j’ai été très touchée et fière de voir nos enfants suivre certains exemples 🙂 et d’avoir favorisé cette trace. Actuellement, j’ai la chance d’être grand-maman et ainsi d’avoir de tout jeunes et vrais exemples d’insouciance, de joie, de courage, de sensibilité, de drôlerie et j’en passe 🙂 .

Un exemple cela peut être une personne et une action. Alors quand une personne honnête fait une action exemplaire édifiante, cela pourrait devenir plus qu’un exemple… un modèle digne d’être imité !

Ouvrons nos yeux et nos oreilles pour repérer les exemples remarquables qui nous entourent chez les humains et dans les autres règnes. L’exemple de la nature (arbres qui communiquent par leurs racines via les champignons) et des animaux (les abeilles et les fourmis organisées et capables de communiquer entre elles) est une source inépuisable de modèles représentatifs et inspirants.

Et bien sûr, il y a les exemples précieux de nos proches qui ne sont plus là… qui resteront éternellement dans notre mémoire… avec un voile de tendresse autour.

note contente note contente

Un exemple visible et concret avec des actes et des gestes contient aussi une part d’exemple invisible au niveau de l’intention et du sens…. plus ou moins consciente d’ailleurs… que la personne soit jeune ou plus âgée, qu’elle fasse juste ou faux et que cela nous plaise ou pas !

A tous les coups, un exemple est une occasion d’utiliser notre libre-arbitre, une expérience pour évoluer et agir en accord avec nous-même !

Un exemple cela se montre, cela se donne, cela se prend, cela se suit… ou pas !

note contentenote contente

Exemple tu dors

Ton idée va trop vite ?

Exemple tu dors

ton idée va trop fort ?

ton idée ton idée va trop vite !

ton idée ton idée va trop fort !

coeur en musique

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chronique 17 : dire oui à… https://aaper.ch/chroniques/2020/01/28/chronique-17-dire-oui-a/ https://aaper.ch/chroniques/2020/01/28/chronique-17-dire-oui-a/#comments Tue, 28 Jan 2020 10:00:03 +0000 http://aaper.ch/chroniques/?p=3006 J’ai pas envie de devoir : me lever, faire mes devoirs, travailler avec cette personne, remplir ma feuille d’impôts, préparer le repas, faire les courses, faire le ménage, rendre visite à quelqu’un, prendre un rendez-vous, amener la voiture au service, aller chez le dentiste, etc.

Oh non… (avec un soupir)… mais bon…  (avec un soupir)… cela va aller… (avec un soupir)… allons-y !

Et vous ? Cela vous arrive de soupirer et de dire « oh non… » ?

Et si, avec ou sans soupir, … vous disiez … oui … ?


yes

Parfois, il arrive qu’une personne se sente obligée d’être là, de faire cela, de vivre cela. Comme si elle avait été parachutée là, sans le demander… tellement les circonstances sont rébarbatives voire inhumaines !

EXEMPLES vécus🙂

Une maman, au téléphone à 7 h du matin avec un médecin, car un de ses trois enfants a une énorme fièvre et très mal au ventre à droite… et une souris lui passe entre les pieds !

Une personne, en train de prendre des fleurs de Bach sur le parking d’un hôpital, avec l’estomac tellement serré et les jambes qui la soutiennent à peine, à l’idée de ce qu’elle va vivre à l’intérieur de la chambre avec la personne en fin de vie !

A l’époque, j’avais pensé très fort, soupiré et peut-être même dit à haute voix « Oh non… mais bon… cela va aller… allons-y… ».

En fait je me rends compte que je disais consciemment non à ce que je voyais concrètement. Je disais non à l’enfant malade, la possible opération, les problèmes d’organisation, la souris, la maladie, la douleur, la mort. Je ne voulais pas vivre cela.

Par contre, je ne me rendais pas compte, que je disais du coup aussi non à ce que je ressentais sur le moment. Je disais non à ma peur de ne pas savoir, de ne pas y arriver, de ne pas être à la hauteur de la situation. Je disais non à mon envie de fuir et de ne pas être là. Je disais non à ma culpabilité qui suivait … Je disais non à un vrai cocktail émotionnel explosif  !

Voilà où je veux en venir 😉

Les émotions légitimes que je ressentais à l’époque 🙂 n’étant pas accueillies consciemment par moi, se figeaient à l’intérieur de mon corps, pas pour former des pépites d’or mais pour former des scories. Comme des grains de sable qui bloquent le tout ! Des sensations corporelles désagréables et incompréhensibles ! Un malaise quotidien sans raison qui amène la confusion ! Une bombe à retardement pas prise en compte et prête à exploser au moment où on s’y attend le moins !

Maintenant, le plus souvent 🙂 si un « oh non » arrive, je dis « oui » à ce que je ressens afin de vivre ce moment en entier. Je laisse « couler les émotions » (cf chronique 6) et ainsi j’évite, autant que possible, la formation de résidus ou de dépôts invisibles mais tellement encombrants et absorbants.

J’adhère à ce qui est ET à ce que je ressens comme si je me donne entièrement le consentement de vivre cela. Les émotions sont ainsi vécues consciemment au moment où elles se passent et pas plus tard et ailleurs, sans sens.

note contentenote contente

Dire oui à ce qui se passe, c’est une possibilité de vivre le moment présent, en disant oui à ce que nous percevons ET ressentons avec tendresse et bienveillance pour soi !

Dire oui à ce qui se passe, c’est ouvrir  les deux bras tout grands pour accueillir des expériences multicolores !

Dire oui à ce qui se passe, c’est un observateur ou une observatrice au clair avec ce qu’il ou elle ressent… même si l’observation modifie ce qu’on observe selon la physique quantique 😉

Dire oui à ce qui se passe, maintenant, c’est un sentiment de paix à l’idée des futures expérimentations et sensations !

Alors… à quoi pourriez-vous dire oui aujourd’hui ?

note contentenote contente

Et y a des gens heureux
Des vies tristes qui dorment dehors
Et y a des gens heureux
Et d’autres qui brassent de l’or

Christophe Maé

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Chronique 16 : répéter https://aaper.ch/chroniques/2020/01/18/chronique-16-repeter/ https://aaper.ch/chroniques/2020/01/18/chronique-16-repeter/#respond Sat, 18 Jan 2020 07:58:00 +0000 http://aaper.ch/chroniques/?p=2940 Je répète mais je n’y arrive pas.

J’ai beaucoup répété et pourtant j’ai fait une mauvaise note.

Je dois tout le temps lui répéter de ranger sa veste, faire ses devoirs, venir manger, aller au lit, etc.

Si l’une de ces 3 affirmations est la vôtre ET que vous n’êtes pas satisfait-e,  je vous invite à arrêter de « répéter » puisque cela ne marche pas.

D’accord, mais alors je fais comment ?

Je vous invite à changer la façon de faire, à améliorer la qualité de votre action plutôt que la quantité.

D’accord, mais alors je fais comment ?

Vous vous répétez non ? 🙂 hihihi…

A la découverte !


détective

1. Identifier la façon de faire

2. Prendre conscience de ce qui est inutile et répétitif

3. Mettre en place le changement utile

EXEMPLE : « Je répète mais je n’y arrive pas. »

Qu’est-ce que tu fais toi, quand tu répètes ?

Je lis mon vocabulaire, mes feuilles d’histoire. Je regarde mes exercices de math. Puis je « cache » ou ma maman m’interroge ou j’essaie de refaire des exercices.

Et ?

Et je n’y arrive pas bien… même qu’on recommence beaucoup de fois… et même parfois on s’énerve… et c’est encore pire de continuer.

Donc cela ne sert à rien ou à pas grand chose ?

Oui et je suis découragé-e… et je n’ai pas envie de m’y mettre… cela me saoule…

Et si tu mettais ce que tu lis dans ta tête, tranquillement, comme c’est utile pour toi, POUR pouvoir l’utiliser seul-e après, quand tu vas « cacher » ou quand ta maman va t’interroger ?

EXEMPLE : « J’ai beaucoup répété et pourtant j’ai fait une mauvaise note. »

Qu’est-ce que tu fais toi, quand tu répètes ?

Cela dépend. Pour le vocabulaire, je lis un petit bout puis je « cache ». Puis je lis encore un bout de plus et je recommence depuis le début. Puis je recommence le lendemain. Et parfois je les écris. Et parfois je fais des cartons.Et parfois j’utilise quizlet. Et parfois ma maman ou mon papa m’interrogent. Pour l’histoire, on a des objectifs. Alors je fais les objectifs et mes parents me posent des questions. Et parfois je fais un résumé. Je relis le résumé. Pour les math, j’essaie de refaire les exercices.

Et ?

Et à la maison, je sais mais… à l’école je stresse… ou je ne comprends pas les questions… ou j’ai tout oublié…

Donc cela ne sert à rien ou à pas grand chose ?

Oui et en plus j’ai peur de faire faux… de me faire gronder… et de redoubler.

Et si tu mettais ce que tu lis dans ta tête, tranquillement, comme c’est utile pour toi, POUR pouvoir l’utiliser seule-e après, quand tu vas vérifier si tu sais ou quand tes parents vont t’interroger ou lors du contrôle ?

EXEMPLE : « Je dois tout le temps lui répéter de ranger sa veste, faire ses devoirs, venir manger, aller au lit, etc. »

Comment cela se passe ?

Je lui demande de ranger sa veste, une fois, deux fois puis je m’énerve. Je lui demande de venir faire ses devoirs, une fois, deux fois, même trois fois puis je m’énerve. Et pour le reste c’est la même chose…

Et ?

Et je finis par péter les plombs, … crier… et souvent cela finit en larmes.

Donc cela ne sert à rien ou pas grand chose ?

Oui et en plus, je m’en veux de m’énerver si rapidement… et je ne me sens pas à la hauteur.

Et si vous le préveniez que vous allez lui dire quelque chose une seule fois, qu’il va la mettre dans sa tête tout de suite ici et maintenant, comme c’est utile pour lui POUR qu’il puisse la faire seul-e juste après  ?

note contentenote contente

Répéter c’est redire exactement la même chose !

Et il est possible de le faire sans mettre de sens, sans comprendre, sans s’en souvenir, seulement comme un perroquet. Et à force, la quantité des répétitions donne l’impression de savoir… mais la réponse donnée est souvent seulement … une répétition de ce qui a été déjà dit !

Donc changeons ! Choisissons de mettre dans notre tête la nouvelle matière, de nouvelles informations, de nouvelles sollicitations ! Évoquons à notre façon ! Approprions-nous la nouveauté POUR l’utiliser ici ou ailleurs, maintenant ou plus tard !

Répéter c’est aussi s’entraîner !

D’ailleurs, le petit enfant est capable de choisir de répéter maintes et maintes fois le même geste pour apprendre à empiler des plots par exemple et il le fait jusqu’à la réussite. Il fabrique son réseau de neurones, tranquillement, comme c’est utile pour lui POUR pouvoir utiliser cela plus tard tout seul !

Les sportifs/sportives et les musiciens/musiciennes choisissent aussi de s’entraîner quotidiennement comme c’est utile pour eux/elles POUR pouvoir vivre leur passion lors d’un concours ou d’un concert.

Prêt-e pour l’entraînement ?

note contentenote contente

 

Une répétition longtemps

Ça use Ça use

Une répétition longtemps

Ça use les parents

Une répétition gnangnan

Ça use Ça use

Une répétition gnangnan

Ça use les enfants

coeur en musique

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Chronique 15 : de la bonne résolution à la contribution ? https://aaper.ch/chroniques/2020/01/08/chronique-15-de-la-bonne-resolution-a-la-contribution/ https://aaper.ch/chroniques/2020/01/08/chronique-15-de-la-bonne-resolution-a-la-contribution/#respond Wed, 08 Jan 2020 07:20:01 +0000 http://aaper.ch/chroniques/?p=2934 Bonne et heureuse année 2020 🙂

Un début d’année. Un début de décennie en plus. Une bonne résolution ? et même une contribution ?

Quoi ? Comment ? Combien ? Quand ? Où ? Pour ou avec qui ? Pourquoi ?

Moult questions qui pourraient agir comme un frein !

Voici de quoi presser sur la pédale de l’accélérateur en ce début janvier… ou à n’importe quel moment de l’année d’ailleurs !


partie

Il y a les contributions matérielles qui pourraient être faites dans la joie et la gratitude… une idée de bonne résolution ? 😉

Les contributions peuvent représenter uniquement les sommes d’argent payées aux impôts… comme contribuable… selon la taxation annuelle … et cette année on la fait en janvier 😉 … alors qu’il s’agit de notre part pour pouvoir utiliser différents services.

EXEMPLES

Notre contribution pour utiliser le réseau routier, le réseau d’eau, les écoles, les hôpitaux pour bénéficier des services sociaux, de la sécurité, etc… et oui on a besoin des autres pour pouvoir bénéficier de ces avantageson est redevable…

En plus des contributions imposées, il y a les contributions volontaires avec les dons aux nombreuses associations qui se rappellent à nous régulièrement dans la boîte aux lettres. Ils disent d’ailleurs que chaque don est important ! Ils comptent sur nous !

Il y a aussi les pourboires dans les restaurants, l’achat de pâtisseries pour les voyages d’étude, les pièces pour les musiciens des rues, etc.

Bien entendu, il y a notre contribution pour la planète avec le tri des déchets, la consommation durable, les voyages sans avion, etc.

Une cascade de potentielles bonnes résolutions à disposition !

Mais il n’y a pas que le matériel ou l’argent !

Les contributions comportementales

Dès qu’un groupe est rassemblé, une équipe, une classe, une famille, une file d’attente, des spectateurs, chacun contribue à ce qui se passe plus ou moins consciemment et plus ou moins visiblement !

EXEMPLES

Un entraîneur ou une entraîneuse qui encourage ses joueurs ou ses joueuses avec un clin d’oeil.

Une enseignante ou un enseignant qui console ou encourage avec un regard complice et bienveillant un ou une élève .

Un papa ou une maman ou un enfant qui est attentif/attentive aux autres autour de la table par sa présence impliquée.

Quelqu’un qui laisse passer son tour dans une file d’attente avec un simple geste.

Un spectateur qui regarde derrière lui pour veiller à ne pas gêner les personnes derrière lui.

Un individu pourrait aussi adopter un comportement différent pendant un moment.

EXEMPLE

Le mois de janvier sans alcool.

Une bonne résolution ou une contribution pour soi et pour son foie  !

Mais il n’y a pas que les contributions visibles !

Les contributions des idées, des pensées et des intentions

Il semble que le bonheur soit contagieux donc transmissible à notre entourage jusqu’au 3e niveau des relations (les amis des amis des amis)  ! Comme si nous étions une antenne relais !

Voilà une bonne résolution-contribution qui me convient, veiller à être heureuse ET contagieuse 🙂

note contente

note contente

 

 

Une contribution c’est notre part au tout !

Chaque note de la gamme permet la création d’une musique ! Que ferait le Do sans le Sol ou sans les autres notes ?

Chaque nuance de couleur contribue à la beauté d’un tableau, d’un paysage ou de l’arc-en-ciel ! Que ferait le rouge sans le bleu ?

Utilisons notre talent, notre nuance, notre note pour contribuer avec une intention consciente !

EXEMPLE

Manifester sa présence vivante, joyeuse et souriante à chaque instant quel qu’il soit, de façon visible ou invisible mais consciemment … et surtout autour de la table familiale, au travail ou en classe…

La bonne résolution-contribution serait de le faire durant 21 jours !!! car les neurosciences disent qu’il faut au moins ce temps-là pour mettre en place de nouvelles habitudes.

Alors c’est parti pour 21 jours de bonheur contagieux ?

note contentenote contente

Do le do il a bon dos
rayon de soleil d’or
Mi c’est la moitié d’un tout
Fa c’est facile à chanter
Sol la terre où vous marchez

La l’endroit où vous allez
Si c’est siffler comme un merle
Et comme ça on revient à Dooo

La Mélodie du Bonheur – 1965

Un film de Robert Wise Avec Julie Andrews, Christopher Plummer, Richard Haydn qui a reçu 2 oscars

coeur en musique

 

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Chronique 14 : concentration ou pourcentage ? https://aaper.ch/chroniques/2019/12/18/chronique-14-concentration-ou-pourcentage/ https://aaper.ch/chroniques/2019/12/18/chronique-14-concentration-ou-pourcentage/#comments Wed, 18 Dec 2019 16:24:56 +0000 http://aaper.ch/chroniques/?p=2877 En cette fin d’année 2019, il me vient de « chroniquer » sur un autre aspect de la concentration ?

Est-ce le pourcentage ou la concentration qui fait la différence ?

Le nombre ou la force de l’intention ?

La majorité ou l’élément intensément présent ?

Vous me suivez ?


pourcentages

Dans une famille de 4 personnes, chacun, chacune en représente 25 %.

Si l’un des membres est différent par son âge, son physique, son mental ou son émotionnel, représente-t-il toujours 25 % de la famille ?

Sa différence n’engendrerait-elle pas un gros pourcentage (même 100 %) de problèmes ou de modifications dans le fonctionnement de la famille ? et même un concentré de conséquences ?

EXEMPLES

Différence physique

Un enfant ou un adulte doit marcher avec des béquilles pendant quelques temps… ah oui, il faut le mener à l’école ou au travail, l’aider à s’habiller, l’aider à porter son sac…

Différence mentale

Un enfant est découragé devant les verbes au passé simple… ah oui, il faut que quelqu’un fasse les devoirs avec lui… 

Bien sûr qu’un adulte ne serait absolument pas découragé devant des verbes au passé simple !… hihihi…

Différence émotionnelle

Un enfant ou un adulte est triste, fâché ou craintif pour une bonne raison pour lui dans son quotidien… ah oui, il faudrait prendre du temps pour régler cela… 

Ainsi, dans une famille, une équipe, une classe, un orchestre, etc.,  il pourrait suffire qu’une seule personne adopte un comportement différent pour que l’ensemble soit perturbé ?

Un tout petit pourcentage avec une concentration très dense… hum..mais alors la cacophonie cela pourrait s’installer très vite… oulala…

Mais non… on est en Suisse, pays libre avec une démocratie directe. Chaque voix compte et la majorité absolue l’emporte donc il faut la moitié plus un pour que cela « péclote » 😉 dans une famille, dans une équipe, dans une classe, dans un orchestre, etc.

Evidemment que je blague ! Vous le savez bien !

EXEMPLE

Un mal de dent qui empêche de pouvoir vaquer à ses occupations quotidiennes avec efficacité et qui chamboule l’agenda prévu car le rendez-vous chez le dentiste s’y ajoute.

La majorité relative (autre possibilité lors d’un scrutin) l’emporte si et seulement si une solution ou un personnage remporte plus de voix que les autres.

Comment faire remporter à une solution plus de voix qu’une autre ?

En renversant la vapeur 🙂  en augmentant la concentration de notre intention à la plus haute teneur de ce que nous voulons !

EXEMPLE

Une toute petite bougie dont la flamme éclaire toute une pièce plongée dans l’obscurité !

Osons être le petit pourcentage dans une famille, une équipe, une classe, un orchestre, etc. à haute teneur en communication

POUR  une communication à haute teneur en écoute

POUR une écoute à haute teneur en disponibilité

POUR une disponibilité physique, mentale et émotionnelle donc à haute teneur en présence

POUR une présence à haute teneur en bonheur, joie, gratitude et amour.

Et oui, cela marche dans les deux sens : un petit pourcentage avec une grande concentration et la roue tourne 😉

 

ligne horizontale avec crayon

Qu’est-ce qui fait la différence ? la concentration ou le pourcentage ?

Selon le dictionnaire Larousse, la concentration réunit dans un même lieu ET est ce qui réunit des éléments assemblés.

Un pourcentage est une proportion pour cent unités.

Notre corps est fait à 60 % d’eau et nos organes en contiennent différentes concentrations.

Nous sommes chacun, chacune beaucoup plus qu’un pourcentage.

Nous possédons dès notre naissance une haute teneur en unicité, en originalité, en singularité, en particularité.

Osons briller avec notre petite flamme ! Osons être qui nous sommes à 100 % 🙂

P.S. L’eau H2O c’est deux fois du H pour une fois du O ou comme dit le Dr Mazaru Emoto : 2 doses de gratitude pour une dose d’amour !

ligne horizontale avec crayon

 

OH! Vive le vent, vive le vent
Vive le vent d’hiver
Qui s’en va sifflant soufflant
Dans les grands sapins verts
OH! Vive le temps, vive le temps
Vive le temps d’hiver
Boule de neige et jour de l’an
Et bonne année grand-mère …

notes de musique

 

 

 

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