Inspiration du 22 janvier 2021 – la charnière, l’indifférence et le changement
Une porte commence par grincer quand les charnières ont besoin d’huile ou d’être nettoyées sinon elle pourrait se bloquer. Bien entendu, il est toujours possible de s’y habituer ou de se contenter de devoir forcer pour ouvrir la porte et de remettre au lendemain.
Une personne commence par ressentir des émotions, la tristesse, la colère, la peur, etc. quand les événements du quotidien comportent des grains de sable dans leurs rouages. Ces charnières sont des occasions de « huiler » la réalité… pour que tout baigne dans l’huile .. voire de nettoyer à fond… des à-fonds de printemps à toutes saisons… afin d’éviter le blocage. Bien entendu, il est possible de s’y habituer ou de s’en contenter ou d’attendre que cela passe.
Ces derniers temps, j’ai rencontré plusieurs personnes qui étaient passées en mode indifférence… une sorte de couverture ou de couvercle posé dessus la charnière mais aussi dessus le ou les grains de sable, dessus leur émotion, leur ressenti, leur sentiment et même au-dessus de leurs propres besoins. Comme une mise à jour avec moins de possibilités, une norme à la baisse !
Il y a les charnières de porte : un assemblage de deux pièces métalliques réunies par un axe autour duquel l’une des deux peut tourner… hum hum… une des deux pièces peut tourner 😉
Il y a le sens figuré d’une charnière : un point de jonction, de transition, à la charnière de deux époques… hum hum… une transition vers … 😉
Encore plus précisément, il y a une période charnière, un moment important marquant une jonction entre deux périodes, un tournant, un changement de paradigme… hum hum… vers quoi ? …
Paradigme : le mot vient du grec paradeigma qui signifie « modèle » ou « exemple ».
Hum hum… peut-être que la couverture ou le couvercle aide à cacher le modèle ou l’exemple…
C’est peut-être cela le grain de sable, aller vers un changement de paradigme, une changement de modèle justement où il n’y a plus de modèle !
Juste un être vivant en étant qui il est en train d’être.
Bon alors quoi ?
En avant !
Et si on allait vers le bout du tunnel, là où il y a la lumière 🙂