Table des matières – 33 chroniques AAPER
C’est en écrivant la 33e chronique que je me suis rendu compte que tout était déjà là au début quand j’ai commencé… sinon comment serait-il possible que la dernière chronique arrive au début des vacances scolaires, que les 33 chroniques se divisent parfaitement en 3 chapitres, que je puisse prendre comme titre de ces 3 chapitres le nom que j’ai donné à mes cours en 2004, à mon site en 2013, à mon premier livre en 2015 ?
Voilà encore une fois les coulisses des chroniques, elles sont arrivées au gré des rencontres, expérimentations et rêves, sans que je sache au début ce qui allait être écrit… des mots soufflés à mon oreille POUR que je les entendes et POUR que je puisse les partager avec vous ?
Chronique 0 : introduction aux chroniques
APPRENDRE
Chronique 1 : le ton
Chronique 2 : le contenu
Chronique 3 : le code familial
Chronique 4 : décider = choisir + ?
Chronique 5 : décider = choisir + accepter ?
Chronique 6 : les émotions
Chronique 7 : la trilogie MFA – épisode 1
Chronique 8 : la trilogie MFA – épisode 2
Chronique 9 : la trilogie MFA – épisode 3
Chronique 10 : la confiance
Chronique 11 : action, réaction, attentes et conséquences
AVEC PLAISIR
Chronique 12 : la procrastination, une conséquence de quelque chose ?
Chronique 13 : concentration et organisation
Chronique 14 : concentration ou pourcentage ?
Chronique 15 : de la bonne résolution à la contribution
Chronique 16 : répéter
Chronique 17 : dire oui à …
Chronique 18 : l’exemple
Chronique 19 : concret et/ou abstrait
Chronique 20 : la différence
Chronique 21 : le reflet
Chronique 22 : top PME ***
ET RÉUSSIR
Chronique 23 : l’essentiel
Chronique 24 : l’évaluation
Chronique 25 : le vecteur
Chronique 26 : du nombre au colibri
Chronique 27 : avoir une bonne mémoire ?
Chronique 28 : assez ou trop ?
Chronique 29 : c’est qui « on » ?
Chronique 30 : être à l’heure
Chronique 31 : de l’utilité de l’analyse grammaticale
Chronique 32 : de l’utilité des équations
Chronique 33 : la réussite
On peut vivre sans richesse
Presque sans le sou
Des seigneurs et des princesses
Y en a plus beaucoup
Mais vivre sans tendresse
On ne le pourrait pas
Non, non, non, non
On ne le pourrait pas
La Tendresse, interprétée par Bourvil en 1963